Le crépuscule des dépravés
Un monde en fin de partie, tout se disloque. Y règnent sans partage les corrompus, les pervertis, et pour finir, les dépravés. Lâcheté, peur, connivence, personne ne s’oppose. Un monde presque parfait au sein duquel, les dirigeants comme les dirigés, tous sont complices. Une bousculade organisée. Un homme s’écroule, poignardé. L’assassin ? Un homme seul ? Des commanditaires ? À qui, à combien, profite la mort ? Pas d’assassin. Personne ne veut savoir. Tous se taisent, tous acceptent ce crime sans auteurs. Tous, sauf un. Un homme seul, ou presque.
Mais pour solder ses comptes, ce loup solitaire devra agir vite, très vite. Une course contre la montre ? Non ! Une course contre la mort. Blessé ou malade, ses jours sont comptés, sinon ses heures. Et ses ennemis, il les découvre à chaque pas plus nombreux, plus puissants, plus nuisibles.
Une course donc, de bout en bout haletante, implacable et… complètement incertaine.